Nous vous rappelons que le PLAGIAT, COPIES du concept, des règles twitter et des légendes pour RP, est strictement Interdit
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| Sujet: oona - je rêve d'un monde qui s'élève au milieu des champs où l'on crève. Dim 7 Sep - 15:00 | |
| Le bonheur naît du malheur, le malheur est caché au sein du bonheur. oona madaléin mckenzie Son père est ce qu'on appelle communément un taulard, il a passé la moitié de sa vie derrière les barreaux. A fait une overdose quand elle avait dix-sept, à son réveil elle a appris qu'elle avait fait perdu un bébé dont elle ne savait même pas l'existence. A fait le choix de se reconstruire et à passer près de six mois dans un centre de désintoxication. | - mes informations - nom(s)▲ Mckenzie, le nom de son père, synonyme de honte à ses yeux. prénom(s) ▲ Oona Madaléin, choix de son mère, son père étant derrière les barreaux lors de sa naissance. surnoms ▲ Nana ou encore Mac, en référence à son nom de famille. date et lieu de naissance ▲ 01/09/1995 à Wexford. âge ▲ Dix-neuf ans. origines▲ Irlandaises, même si sa mère a du sang anglais dans les veines. situation financière▲ Moyenne, voir limite précaire. emploi/etude ▲ Vendeuse dans une animalerie. statut civil ▲ Célibataire, l'amour est beaucoup trop douloureux. orientation sexuelle ▲ Hétérosexuelle, même si dans ses souvenirs et quand elle n'était plus elle même, une fille a déjà été son amante. groupe ▲ Don't you worry child. |
- les petites informations sympas - adore la musique ▲ serviable ▲ réservée ▲ aime les bonbons qui piquent ▲ se ronge les ongles ▲ est une fée du logis ▲ son père est son plus grand cauchemar ▲ ne crois plus en l'amour ▲ souriante ▲ pessimiste ▲ adore les vieux films ▲ n'a plus aucun contact avec ses parents ▲ a une passion pour les animaux ▲ a longtemps été accro à beaucoup de choses (drogues et alcool) ▲ adore tout ce qui est vintage ▲ a eu une période très rebelle ▲ est beaucoup trop secrète ▲ lit énormément ▲ elle avait comme rêve de devenir professeur d'histoire ou bien archéologue ▲ déteste être prise en photo ▲ - hop, l'interrogatoire - Avez-vous le permis ? si oui avez-vous une voiture ? si oui quelle voiture avez-vous ? ▲ Non, elle n'a pas les moyens de passer le permis pour le moment, elle a d'autres priorités. Avez-vous des animaux ? si oui lesquels ? ▲ Archie, un petit chien qu'elle a récupérer chez une de ses voisines lorsqu'il était encore un petit chiot. C'est son bébé, l'amour de sa vie. Quel est votre style vestimentaire ? ▲ Elle fait avec les moyens du bord, elle achète beaucoup en friperie, la mode ce n'est pas quelque chose d'important à ses yeux. Avez-vous des phobies ? si oui lesquelles ?▲ Son père, tout simplement, c'est sa plus grande peur. Êtes-vous bordélique ? ▲ Avant, elle l'était, mais après six mois dans un centre de désintoxication et bien elle a appris à mieux gérer sa vie ainsi que son appartement. Savez-vous cuisiner ? ▲ écrire ici. Êtes-vous à l'aise avec la technologie ? ▲ Oui, mais ce n'est pas quelque chose d'important à ses yeux. Êtes-vous jaloux ? ▲ Elle l'a été pendant un moment, mais ce n'est plus que du passé maintenant. Avez-vous une passion ?▲ La musique, elle joue très bien de la guitare, elle a même appris toute seule. Pratiquez-vous un sport ? si oui le ou lesquels ?▲ Aucun, sauf les cinq étages qu'elle doit monter pour rejoindre son appartement, c'est bien assez.
pseudo/prénom ▲ haluna/marine. âge ▲ dix-neuf ans. région ▲ seine-maritime. fréquence de connexion ▲ 5/7. où as-tu trouvé bw ▲ bazzart. qu'en penses-tu ? ▲ super, sinon je ne serais pas ici. last words ? ▲ j'espère trouver mes marques très vite afin de pouvoir rentrer à fond dans le jeu.
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| Sujet: Re: oona - je rêve d'un monde qui s'élève au milieu des champs où l'on crève. Dim 7 Sep - 15:00 | |
| - On ne recommence plus, mais se souvenir, c'est presque recommencer - C'était une belle histoire...ou pas. - la vie est un conte de fée qui perd ses pouvoirs magiques quand nous grandissons - Papa boxeur, papa taulard, papa absent. Maman soumise, maman douceur, maman aveugle.
C'est ainsi que je résume mes parents, ses deux êtres qui au détour d'un trottoir ont fini par se croiser, par s'aimer ou tout du moins le croire et vouloir faire un bout de chemin ensemble. Je suis bien gentille d'en parler ainsi, c'est les mots que ma mère a essayés de graver dans ma mémoire quand j'étais plus jeune, quand elle voulait que je crois encore au conte de fée. C'était bien beau, mais ma grand-mère a eu une version qui colle beaucoup plus à mes yeux. Une soirée, un rendez-vous, un bébé surprise et passage par la case mairie afin que les choses ne semblent pas trop brouillon entre eux. Des sentiments, peut-être, mais rien qui ne se rapproche de la belle histoire d'amour. Mon frère est donc né un peu moins d'un an après leur rencontre, sept mois après leur mariage. La grande fierté de mon père qui rêvait d'avoir un « héritier » comme il aimait si bien le dire, un homme pour veiller sur sa femme quand il n'était pas là. Une bonne chose, quelques semaines après sa naissance, il se retrouvait derrière les barreaux pour vol et recel de matériel électronique. Un papa modèle. Une vie de couple en dent de scie, avec présence ou pas d'un homme qui n'attendait rien de la vie, sauf qu'elle lui mette tout entre les mains. C'est là que ma mère intervient, petite boniche soumise et sans aucune once d'amour propre. Je sais, ce n'est pas glorieux de parler ainsi de celle qui nous a mise au monde, mais c'est l'image que j'en garde. Après trois dans de vie à trois, ou deux, j'ai pointer le bout de mon nez avec la seule présence de ma mère pour m'accueillir. Un petit séjour en prison était encore de mise pour mon paternel. Oona Madaléin, deux prénoms emplis de douceur et choisi par une femme qui espérait certainement le meilleur pour celle qui allait être son unique fille. Encore une fois, elle est tombée à côté de la plaque. Comme beaucoup d'enfants, je n'ai aucun souvenir de mes jeunes années et c'est peut-être mieux ainsi, mais un est plus que vivace dans mon esprit. Cet homme, je ne le voyais presque jamais, mais à l'âge de quatre ans alors que je n'aurais pas dû savoir ce qu'était ce sentiment, la haine m'a envahi. Un premier coup, un second et une pluie pour suivre. Les pleurs, la douleur, tout est encore ancré au plus profond de moi-même. J'ai rapidement compris qu'il aurait préféré que je sois un garçon, j'étais une déception, la copie conforme de celle qu'il appelait « la bonne à rien », ma mère. Rien n'était assez bien, même si j'étais une excellente élève et que je ne faisais jamais rien de mal. Je retrouvais le sourire que quand il se retrouvait encore une fois en prison, que j'avais ma mère et mon frère pour réconfort pour quelques mois. Autrement, je n'étais que souffrance. Alors, en grandissant j'ai choisi la solution la plus simple pour oublier, pour continuer à avancer sans trébucher. La cigarette d'abord, quand j'ai eu treize ans, l'alcool peu de temps après lors d'une soirée où je n'aurais pas dû aller et ensuite la drogue, ma potion magique. À quinze ans, je n'étais déjà plus une petite fille, je vivais dans un monde sans nuage où je croyais que je pourrais rester jusqu'à la fin de ma vie. Puis, il était là, « lui » et je pensais que je pourrais avoir une belle vie s'il s'intéressait à moi. Le truc presque habituel, tomber amoureuse du meilleur ami de son frère. Il avait tout pour me plaire, je me suis offerte à lui et cela a fini de me faire sombrer. Une nuit, je lui est tout offert et notre vie a repris comme avant, moi retrouvant mes sombres démons. Mon frère, par amour pour moi, essayait bien de me faire comprendre que je me détruisais, mais il ne pouvait tout simplement pas comprendre pourquoi je faisais ça. Il ne connaissait pas les nombreuses vestiges de cigarettes brûlées sur mon dos, les quelques cicatrices sur mes côtes. Non, son monde était beaucoup plus beau que le mien. Puis, un jour tout à basculer, une overdose, une vie presque fichu en l'air. En me réveillant à l'hôpital, moi, petite fille de dix-sept ans, j'ai pris conscience de ce que j'avais fait. Ce n'était pas intentionnel, tout du moins, j'ai essayé de me le faire croire. Sans réussir. Une soirée encore une fois, certainement un peu trop de colère et voilà le résultat. Mon frère était là, ma mère avait les yeux rougis et je m'en suis voulu, voulu d'avoir été si faible à cause d'eux. Ce qui a fini par m'achever et d'apprendre que j'avais perdu ce dont je n'avais pas conscience, mon bébé. Un terrible choc, je n'avais plus qu'une chose à faire, m'en sortir pour que ce petit être qui n'avait rien demandé ne soit pas mort en vain. Sorti de l'hôpital, j'ai pris les choses en main avec beaucoup de difficultés, l'envie de replonger étant si présente en moi, mais j'étais plus que décidé. Me retrouver en centre a été un renouveau pour moi, j'ai coupé les ponts avec ma famille et est pris un nouveau départ, celui auquel j'avais enfin le droit. Ça n'a pas été facile, loin de là, mais aujourd'hui, je suis enfin fière de moi et je sais ce que je vaux. La vie n'est toujours pas rose, mais au moins, il y a beaucoup plus de couleurs. Le noir est banni, le malheur est enfin derrière moi. |
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| Sujet: Re: oona - je rêve d'un monde qui s'élève au milieu des champs où l'on crève. Dim 7 Sep - 15:01 | |
| Bienvenue enfin parmi nous J'espère que tu aimeras le concept |
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météo et voilà une année que l'aventure twitter a commencé pour ariel, tahlia, alexis, nathan, paulo et kenaël (adam). une année de hauts et de bas, mais qui malgré tout nous a apporté beaucoup de bonheur de belles rencontres. un grand merci à ceux qui tweetent chaque jour sur la plateforme depuis maintenant plus d'une année et que le jeu continue pendant une année encore. | |
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