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robynn, i am what i am.

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MessageSujet: robynn, i am what i am.   robynn, i am what i am. EmptyJeu 31 Juil - 20:40

feat. alexis ren - tumblr / bazz' (citation, images)

robynn calvi

you shot me down
Nom(s) + calvi, hé ouais, italienne la classe, je mange des pasta ! Prénom(s) + robynn, l'acolyte de batman. Surnoms + blondie, robynou, rob, ce qui te passe par la tête, tu peux m'appeler parfaite aussi. Date et lieu de naissance + vingt-quatre août quatre-vingt treize à florence. Âge + vingt-et-un an et toutes mes dents ! Origines + italienne à 600%. Situation financière + normale. Emploi/Etude + étudiante en architecture, pianiste au conservatoire et gymnaste. Statut civil + en couple. Orientation sexuelle + bisexuelle, mais ne s'assume pas du tout, donc hétéro ? Groupe + don't you worry child.
elle souffre de dépendance affective à la famille depuis la mort de ses parents, d’où découle ses problèmes de spasmophilie. + elle est de nature stressée et anxieuse, d’autant plus que très appliquée souffre de carences alimentaires à cause d’un nombre incalculable de repas sautées pour réussir, ce qui la fragilise davantage et la rends plus sujette à ses crises. + elle est jalouse et possessive, et ça se voit particulièrement avec son frère. + elle est extrêmement lâche et utilise la fuite pour régler ses soucis même si c’est généralement sans grand succès. + elle ne pas beaucoup d’elle, elle est plutôt renfermée et secrète, et reste assez vague sur sa vie personnelle. + on l’a trouve froide, limite inaccessible la première fois qu’on l’a voit. + elle pratique énormément de sport, ce qui est conseillé pour soulager sa maladie, elle fait du basket en équipe depuis toujours. + elle fait croire à son entourage qu’elle a un cœur de pierre, ce qui est facilitée par son apathie. + elle ne rends jamais visite à ses parents au cimetière et ce depuis le jour de leur enterrement, donc toujours. + elle a une peur irraisonné des aiguilles, et cela l’empêche de se faire tatouer. + au quotidien elle ne quitte jamais la bague de mariage de sa mère ainsi que celle que lui avait offerte son père pour ses douze ans. + elle joue du piano depuis son plus jeune âge, et est très douée dans ce domaine. + en plus de sa spasmophilie, elle souffre de cyclothymie, une forme de bipolarité affective atténuée. + elle ne boit que quand elle est contrariée. + elle est accroc au coca. + son dessin animé préféré est despicable me. + elle est assez maladroite dans la vie de tous les jours et pas forcément à l’aise avec les gens. + elle n'a eu que des relations avec des femmes, qu'elle n'a jamais assumée. + elle a fait des photos plutôt osées par le passé, qu'elle cache bien précieusement.

si j'étais
friandise + smarties on va dire.
couleur + bleu ciel.
animal + chat.
chanson + .
film + .
repas + pizza mozzarella sans hésitation.
boisson + COCAAAAAAAAAAA.
dessert + j'aime trop les desserts.
activité + la gym.
questions time
café, thé ou chocolat ? + écrire ici
jour ou nuit ? + je m'en fiche ?
blanc ou noir ? + les deux !
film, bouquin ou musique ? + les trois.
balade à pieds ou voiture ? + voiture, je préfère.
salade ou hamburger ? + salade, c'est bon pour la ligne !
chien ou chat ? + chat !
soirée étudiante ou soirée entre potes ? + je sors pas particulièrement, donc ?
télévision ou ordinateur ? + télé.
salé ou sucré ? + sucré !
pour ou contre
l'homosexualité + pour.
la peine de mort + pour.
la fourrure + contre.
secretly gossip + c'est marrant, mais ça fait chier.
la drogue + contre.
les fastfoods + pour.
la religion + pour.
le téléchargement illégal de films + pour.
le clonage + contre.
le nudisme + ni pour, ni contre.

Pseudo/Prénom + gertrude. Âge + 18. Région + PACA. Fréquence de connexion + 5/7. Où as-tu trouvé BW + de retour pour vous jouer un mauvais tour ! Qu'en penses-tu ? +  mrblue . Last words ? +  :azélie: .

Code:
<bottin1><pris>alexis ren</pris> </bottin1> - <bottin2> robynn calvi</bottin2>

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MessageSujet: Re: robynn, i am what i am.   robynn, i am what i am. EmptyJeu 31 Juil - 20:42

Who am I

avez-vous le permis ? si oui avez-vous une voiture ? si oui quelle voiture avez-vous ?  + écrire ici.

avez-vous des animaux ? si oui lesquels ?   + non.

quel est votre style vestimentaire ?   + normal ?

●  avez-vous des phobies ? si oui lesquelles ?   + un tas.

êtes-vous bordélique ? + non.

savez-vous cuisiner ? + oui, un peu.

êtes-vous à l'aise avec la technologie ?  + normal, quoi.

êtes-vous jaloux ? + excessivement.

avez-vous une passion ?  + la gym et le piano.

pratiquez-vous un sport ? si oui le ou lesquels ? + la gym.

It's a long story

« Papaaaaa ! » courant à travers la cours de l’école pour me jeter dans ses bras, laissant mon frère aîné à la traîne derrière. Me réceptionnant dans ses bras, je passais mes petits bras de fillette le serrant contre moi avant de me tourner doucement ma tête vers Arthur qui était quelques mètres loin. « Dépêche-toi Tur, j’veux rentrer prendre le goûter moi ! » criais-je le fusillant du regard pour qu’il se dépêche. Vous croyez quoi à cinq ans on a très faim après l’école, ok, j’ai tout le temps faim mais bon. Mon père me reposait à terre, alors qu’il embrassait Arthur venant tout juste d’arrivé. Je me collais à la petite tête blonde à côté de moi, lui serrant fort la main sous les ordres de mon père avant de le suivre jusqu’à la voiture. Durant toute notre enfance, on ne peut pas dire qu’Arthur et moi aillons manquer de quelque chose nos parents étaient plus qu’attentifs et avait tellement d’amour à revendre. J’aimais mes parents démesurément, un peu comme tous les enfants du monde. Mais malgré cet amour immense, j’avais secrètement une préférence pour mon père. Mon héros. J’étais toujours fourrée avec lui, le collant à chaque fois que j’en avais l’occasion, l’accompagnant à toutes ces expositions qu’il voulait allait voir, me reposant sur ses genoux devant la télé lorsqu’il regardait tous ses concerts de piano/voix. J’avais couvert mon père de tout l’amour qu’une petite fille pouvait donnait à son paternel et même plus encore et quand je n’étais pas en train de suivre mon géniteur comme son ombre, je consacrais mon temps à embêter l’autre homme de la maison en lui piquant ses jouets et les cachant à travers la maison, pauvre Arthur. Sauf que mon grand-frère, n’était pas comme mon père et lui le cache-cache avec ses affaires ça le faisait pas vraiment rire alors on se disputait et j’allais automatiquement pleurer dans les jupes de ma mère. Enfin, toute mon enfance peut se résumer en un seul mot : l’amour.

Les années ont passés, passant de plus en plus de temps à faire glisser mes doigts sur le clavier du piano pendant que mon père m'écoutait avec fierté assis au salon. Je me souviens exactement de ce regard rempli de tendresse et ce sourire satisfait quand il voyait que je m’intéressais à ce qu’il aimait et que je faisais tout pour le lui montrer. « Tu seras la meilleure pianiste de l'univers ma chérie » disait-il avec son légendaire sourire qui démontrait toute la confiance qu’il avait en l’avenir et surtout en moi. Et une fois que je savais qu’il était content, je passais mes bras autour de lui, le serrant un peu avant de courir vers ma chambre.

J’avais désormais onze ans alors que nous quittions notre Italie natale pour venir s'installait en Irlande, j'entrais tout juste au collège et je ne mit pas très longtemps à m'adapter. Septembre, je passais les portes de mon collège pour ma troisième année soit la quatrième alors que mon frère lui faisant sa rentrée au lycée. Et aucun changement ne s’était opéré dans ma vie, j’étais toujours aussi collée à mon père ou mon frère quand je ne pouvais pas être avec lui. Autant vous dire que mon monde a toujours tourné autour des garçons ce qui fait probablement en partie ce que je suis aujourd’hui.

Dévastée. Anéantie. Effondrée. Détruite. Je revoyais sans cesse les images du moment qui avait à tout jamais gâchée ma vie. Je regardais la télévision mangeant des gâteaux, embêtant mon frère pour récupérer la télécommande afin de mettre la chaîne que je voulais lorsqu’on sonna à la porte. Lorsque mon frère ouvrit la porte, moi bien cachée derrière lui, nous découvrîmes une femme et un homme. L’une d’elle était assistante sociale paraît-il et l’autre était Lorenzo Calvi, notre oncle. Ils entrèrent sans qu’on les ai vraiment invité à le faire alors que je regardais mon frère les yeux remplis de questions.  « Arthur, Robynn, écoutez c’est pas facile à dire… » Commençait l’homme son expression se transformant peu à peu en compassion, presque en intense tristesse. Ma gorge se serrait alors que je ne comprenais pas tout à fait encore l’ampleur des dégâts. « Nous vous présentons toutes nos condoléances. » surenchérit la femme à côté de lui. Je posais mon regard une nouvelle fois sur mon frère cherchant au fond de ses yeux quelque chose qui me dirait de quoi ces gens-là parlait, mais rien, à part une main qui se crispée sur son genoux alors que je le voyais déglutir. Est-ce que du haut de ses treize ans on peut vraiment imaginer ce qu’il se passe réellement derrière ces mots détournés ? « Nous venons, d’apprendre, que… Enfin vos parents ont eu un accident. Fatal accident. » Ces mots m’arrivèrent comme une gifle. Condoléances ? Accident fatal ? Impossible. Je m’effondrais, ils mentaient.

Robe noire. Je serais la main de mon frère alors que les cercueils descendaient dans leurs cages de pierre. En moins de temps qu’il faut pour le dire j’avais perdue tout ce que j’avais de plus cher au monde. Le début de l’enfer, d’un long enfer. Mes larmes s’emparaient de mon visage, alors que j’avais tout à coup très chaud, trop chaud puis tout à coup très froid. Je sentais ma respiration se saccadait puis se bloquait, je manquais d’air, ayant le sentiment d’étouffer, me laissant tomber à terre alors que j’avais l’impression de perdre connaissance. La première crise, la première d’une longue série qui allait rythmée chacune de mes journées durant quatre longues années.

Nous allions chez un couple que nous ne connaissions pas, nous avions vu l’homme quelques jours avant, le fameux frère de ma mère et sa femme. Ma mère était fâchée avec cet homme depuis un bon nombre d’année, si bien que nous ne l’avions jamais vu et nous n’en avions jamais entendu parler comme si son frère n’avait jamais existé. Dès mon arrivée chez eux j’ai développé mon apathie, caractéristique qui vous donne l’impression que je suis un monstre pour faire simple, c’est l’indifférente à toute forme de sentiment, je suis un espèce de mur impénétrable vous voyez, une statue de glace et il est vrai que j’en joue puisque je ne le devrais me cachant derrière ça pour me protéger. Mais les choses se dégradèrent très vite dans cette famille que je n’arrivais pas à accepter, d’une parce qu’ils étaient à mes yeux d’illustres inconnus et de deux parce qu’aucun d’eux n’était capable d’être présent pour nous et surtout ils étaient totalement insensibles face à mes crises à répétitions. La spasmophilie n’était pas la seule chose que j’avais développé et inconsciemment, je rejetais en Arthur la figure paternel que j’avais perdu ainsi la montage d’amour parental que j’avais à revendre, je lui avais donné, j’avais tout donné à Arthur et la petite fille gentille devenait la mère poule intrusive, quasi-insupportable comme l’était ma propre mère. Dépendance affective à la famille, j’avais besoin de mon frère plus que de n’importe qui d’autre sur cette Terre.

Libérés, voilà ce que nous étions libérés. Mon frère venait de fêter ses dix-huit bougies et avait surtout soufflé sur l’orage qui s’était abattu sur nous ces quatre dernières années, c’était fini, il avait l’âge légal pour que l’on puisse se tirer.

L’héritage de nos parents nous avaient servi à payer l’intégralité de nos études, une chance s’offrait à nous de pouvoir être ce qu’on voulait et c’est dans cet optique-là que je me retrouvais dans d'énièmes années au conservatoire, cherchant toujours la perfection. Je voulais par-dessus que mon père soit fier de moi comme il l’avait toujours été, il m’avait légué sa passion et je devais faire en sorte de lui rendre tout ce qu’il m’avait apporté via ce métier-là. Mon frère travaillait à côté de ses études alors que moi je cherchais un petit travail.


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MessageSujet: Re: robynn, i am what i am.   robynn, i am what i am. EmptyLun 6 Oct - 22:00

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