Nous vous rappelons que le PLAGIAT, COPIES du concept, des règles twitter et des légendes pour RP, est strictement Interdit
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| Sujet: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:23 | |
| «La première clé de la grandeur est d’être en réalité ce que nous semblons être.» Gaïa Z. Edelstein ▲ Est tombée enceinte à 16 ans, ce qui l'a contraint à quitter précipitamment le domicile familial, de crainte que son père ne l'apprenne. ▲ Après avoir mis au monde son fils, sa mère l'a forcée à le placer à l'adoption, à son plus grand désespoir. ▲ Sa mère l'a par la suite mise à la porte, trouvant qu'une "adolescente enceinte" serait dégradant pour sa toute nouvelle vie. | - mes informations - nom(s)▲ Edelstein. prénom(s) ▲ Premièrement Gaïa, d’après la déesse éponyme. Ensuite vient Zahara. C’est d’ailleurs celui que je préfère de loin..surnoms ▲ Aucun. Mon prénom suffit amplement, assez court pour ne pas être encore raccourci. date et lieu de naissance ▲ 23 avril 1994, dans une de ces villes au nord de l'Irlande. En gros, Lifford pour les incultes. âge ▲ Vingt ans, le bel âge. origines▲Germano-israélienne par le père, Grecque par la mère.situation financière▲ Ma famille ne roule pas sur l’or, nous nous sommes toujours contentés de ce que nous possédions. En effet, ce foyer monoparental exclut tout matérialisme exagéré.emploi/etude ▲ Officiellement étudiante en troisième année de biologie, officieusement serveuse pour des clients ingrats et en manque d’amour propre. statut civil ▲ Libre comme l’air, pour ne pas dire esseulée. orientation sexuelle ▲ Vers l’homme et sa force de caractère. groupe ▲ ORDINARY |
- les petites informations sympas - Caractérielle ▲ naïve ▲ aimante ▲ irresponsable ▲ indépendante ▲ Protectrice ▲ Sensible ▲ A fleur de peau ▲ Sarcastique ▲ Egoïste ▲ complexée ▲ obstinée ▲ amicale ▲ enjôleuse ▲ extravertie ▲ trop bavarde ▲ susceptible ▲ Des tonnes de boites d’Oreos entamées ainsi que des paquets de Haribo ont élu domicile sous son lit. ▲ Il n’est pas rare de la surprendre se rongeant les ongles, rituel qu’elle effectue lorsqu’elle est contrariée. ▲ Il est difficile d’avoir le dernier mot avec elle, qui ne lâche jamais l’affaire. ▲ A parfois tendance à se laisser submerger par ses émotions. Ainsi, il lui arrivera d’éclater en sanglots au beau milieu d’une joute verbale avec quelqu’un. ▲ Possède trois exemplaires d’éditions différentes de 22/11/1963 de Stephen King, qu’elle dévore en un rien de temps. ▲ Sanglote en cachette devant le film Le Roi Lion. ▲ Elle refuse de s’excuser pour quoi que ce soit, pour la simple et bonne raison qu’elle refuse de s’écraser devant qui que ce soit. ▲ Voue un véritable culte à Slash, Son idole depuis l'âge de cinq ans. ▲ Enfant, il lui arrivait parfois de voler des bonbons dans la réserve « spéciale confiserie » de sa maman afin de les vendre à un très bon prix. ▲ Amatrice de football, brailler des obscénités durant les matchs est l’un de ses passe-temps favoris. ▲ Elle fume comme un pompier, et possède une boite à chaussures remplie de marijuana. ▲ Guitariste hors-pair, elle compose ses propres morceaux dans sa chambre, à l’abri des regards. ▲ « Raclure » est son nom d’oiseau favori, adopté depuis qu’elle est âgée de treize ans. ▲ Halloween est sa période préférée de l’année, et elle ne manque pas une seconde pour refaire son canular au téléphone favori en composant des numéros au hasard. ▲ Elle est claustrophobe depuis la fois où elle est restée coincé pendant plus de quatre heures dans un ascenseur avec un clodo qui puait le bouc. - hop, l'interrogatoire - Avez-vous le permis ? si oui avez-vous une voiture ? si oui quelle voiture avez-vous ? ▲ Non, et par conséquent, je suis condamnée à subir les odeurs de transpiration et autres odeurs nauséabondes des transports en commun. Avez-vous des animaux ? si oui lesquels ? ▲ Un vieux chat grincheux baptisé Chaussette. C'est le seul homme de ma vie. Quel est votre style vestimentaire ? ▲ Je le décrirais comme étant "hippie-streetwear-hipster-chic". En gros, je n'ai pas vraiment de style particulier. Avez-vous des phobies ? si oui lesquelles ?▲ La solitude et les lieux clos. Êtes-vous bordélique ? ▲ Et pas qu'un peu. Je déteste le rangement, tout simplement parce cela empire les choses. Savez-vous cuisiner ? ▲ Bien entendu. Appelez moi Chef Gaïa. Êtes-vous à l'aise avec la technologie ? ▲ Plus à l'aise que mes parents, en tout cas. Êtes-vous jaloux ? ▲ Ce n'est pas tellement de la jalousie en soit, si je refuse de partager mes conquêtes. Avez-vous une passion ?▲ La guitare et les hommes, et ce depuis toute petite. Pratiquez-vous un sport ? si oui le ou lesquels ?▲ Non merci, j'ai deux pieds gauches, et je suis asthmatique.
pseudo/prénom ▲ Cléa(molette). âge ▲ 17 ans. (i'm such a baby ) région ▲ Pays des caribous et de l'érable. fréquence de connexion ▲ 5/7 où as-tu trouvé bw ▲ Thanks to PRD. qu'en penses-tu ? ▲ Il est fucking beau, et le concept est franchement attirant last words ? ▲ Love
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:26 | |
| - ≪ You had my trust in your hands, you gave it up again... ≫ - Once upon a nightmare - Calling you up just to keep crawling to your arms. - « Papa, papa ! » La voix haletante et aigüe d’une gamine de six ans se fondait parmi le crissement de pneus sur l’asphalte humide et le chant intempestif des oiseaux. Ma robe bouffante bleu pâle flottait avec le vent au rythme de mon allure, tandis que mes poumons se comprimaient à chaque foulée que j’effectuais. Le vent me fouettait au visage, et faisait danser mes boucles couleur châtaigne sur mes épaules. « Papa, tu veux bien me pousser sur la balançoire ? » Je me situais à présent à bonne distance afin que mes yeux puissent distinguer sa silhouette à la fois sécurisante et imposante. Il me jaugeait de ses grands yeux bleu glacier de manière si tendre, que je craignais qu’il ne me file entre les doigts, tel un nuage si je m’aventurais à le toucher. « Bien sûr, ma chérie. Mais ta sœur y est encore, attends ton tour. » Ma chérie. Il avait prononcé ce petit nom avec une telle emphase qu’il était parvenu sans le moindre effort à éviter une de mes petites crises quotidiennes. « Mais papa… Elle est dessus depuis plus d’une heure… » Mes joues rosies par le soleil d'Irlande s’emplirent d’air, et une moue boudeuse prit vie sur mon visage poupin. Il s’agissait là d’un de mes nombreux subterfuges pour obtenir de lui ne fut-ce que la plus futile des choses, et qui à ma grande satisfaction, fonctionnait encore à merveille. J’observais innocemment le balancement nonchalant de ses bras lorsqu’il se dirigea vers ma cadette. Et sans prévenir, un sourire narquois vint élire domicile sur mon visage. Et ce fut ainsi pendant des années. Je savais pertinemment bien que de cette manière, mon père parviendrait à annihiler de ma mémoire de fillette le vide créé par le départ précipité de maman. En effet, je la revois encore la main cramponnée sur la poignée de notre porte en chêne, les traits durcis par le courroux et la poitrine secouée par de multiples sanglots. « Je ne voulais pas en arriver là, mais c’est beaucoup trop. » Je revois mon père tentant tant bien que mal de la retenir, la main gauche agrippée fermement à son avant-bras droit. On distinguait même ses veines du fait qu’il resserrait ses doigts autour de son bras chétif. « Je t’en prie, Emma… Réfléchis-y, pense à Gaïa. Tu lui briseras le cœur… Pense à moi, à nous, ce qu’on a construit ensemble. » Maman pivota légèrement de façon à ce que son visage pâli par la douleur se situe à moins de dix centimètres du visage de papa, embruni par la honte. D’un geste vif, elle se dégagea de son emprise. Ce geste semblait aussi symboliser la fin de leur vie commune. Pour de bon. Son regard, pourtant si chaud et rassurant, était à présent froid et menaçant, et s’était accroché sur les prunelles de son ancien compagnon. La colère crispait ses doigts squelettiques sur la poignée, tandis que son souffle gagnait en cadence. « En ce moment, je pense surtout à tout ce que tu as pu détruire en ramenant cette gamine à la maison. » A reculons, maman quitta le domicile dans lequel elle avait vécu une bonne partie de sa vie. Mais à présent, celui-ci redevenait un foyer inconnu à ses yeux, si ce n’est la présence d’un homme qu’elle a jadis aimé, et une enfant qu’elle a jadis porté dans son corps à présent meurtri. Pendant ce temps, j’assistais à la scène, les genoux encore tremblants serrés contre ma poitrine, ma tête lourde de tristesse posé sur ceux-ci. Avant que la porte ne se referme derrière elle, je lui chuchotai un « Je t’aime » inaudible, mais sans doute remarqué.
« Gaïa ! Rends-moi mes cookies ou je vais le dire à papa ! » Une voix stridente m’ôta de ma nostalgie. Je clignai des yeux trois fois, avant de me trouver nez-à-nez avec cette petite peste qui me servait occasionnellement de sœur. Ses yeux étaient mouillés de fausses larmes, son nez rougi par la grippe et sa bouche dégoulinante de Nutella. Un frisson de dégoût remonta le long de ma colonne vertébrale. Visiblement, cette gamine n’avait pas évolué question propreté, songeai-je. Ignorant ses jérémiades, je contournai cette silhouette pleine de pâte à tartiner et de miettes de biscuits coincés entre ses dents, et fonçai tête baissée vers mon antre tel un grizzli affamé, tout en évitant le regard interrogateur et trop insistant de mon père. Après avoir fermé à double tour la porte de ma chambre, je pouvais enfin vaquer à mes activités. Ma chambre ne ressemblait en aucun cas à une chambre-type d’adolescente de quinze ans. Aucun poster de Gossip Girl ou de Rihanna ne pourrissait mes murs, aucune boulette de fringues n’obstruait le passage vers mon lit simple. Non, au contraire, un poster grandeur nature du guitariste Slash dominait le village et une guitare acoustique laquée noire trônait au pied de mon bureau en bois de merisier. Un chien en peluche prénommé Buster guettait attentivement mon arrivée au bord du lit, et un papier-peint couleur prune recouvrait les murs de ma forteresse. « Take me down to the paradise city where the grass is green and the girls are pretty… » La sonnerie de mon portable m’arracha une fois de plus de ma léthargie ambulante. La vision du nom affiché sur l’écran me fit l’effet d’une décharge électrique. Et c’était à chaque fois pareil lorsqu’il m’appelait, qu’une de mes amies prononçait vaillamment son nom, ou encore qu’il me rendait visite à l’improviste (et en cachette du vétéran.) « Hey Jax, quoi de neuf ? » Cette phrase à peine sortie de ma bouche provoqua une quinte de ricanements de la part de l’intéressé, tandis que mes joues s’empourprèrent par le simple fait de déceler le son de sa voix. « T’es ravie de m’avoir au téléphone, n’est-ce pas ? Avoue que je t’ai manqué. » Il avait chuchoté cette dernière phrase, comme pour prévenir que j’étais la seule à l’entendre. Mes doigts s’emportèrent dans un tremblement incontrôlable, que je tentais de dissimuler en enfouissant mes mains à présent moites sous les fesses, comme s’il pouvait déceler l’effet qu’il produisait en moi. « Bah, si on veut, ouais. » Dieu savait à quel point je mentais comme un arracheur de dent, y compris Jax. Mais il ne parut pas relever, car il bifurqua sur un autre sujet. « Ouais. Bon, un de mes potes organise une soirée, ce soir, et j’veux t’y emmener. Y’a pas de soucis, hein ? » Je déglutis face à l’annonce de cette fameuse soirée. En un sens, je redoutais un peu de côtoyer à nouveau ses amis quelque peu douteux. Chez Jax un soir, l’un d’eux avait déjà tenté à maintes reprises de me peloter pendant que Jax fumait son pétard sur le balcon. Consciente du drame que j’aurais pu causer si je caftais à Jax, j’ai trouvé légitime de conserver ce mauvais souvenir pour moi. Mais il était hors de question que Mr. Mains-Baladeuses ne réitère ses « exploits » une fois de plus à une fête où l’alcool ne manquerait pas, mais où une fois de plus, Jax s’éclipserait, me laissant aux prises de types assoiffés de jeunes vierges. « Alors, tu viens ou pas ?? » Absorbée par mes songes, je n’avais apporté aucune réponse sa proposition, et il s’impatientait. Ce qui était tout à fait juste. Après qu’un long soupir quitta ma bouche sans prévenir, je lui répondis enfin, non sans une pointe de remord. « Ouais, je viendrai avec toi. On fait comme d’habitude ? » Le comme d’habitude signifiait qu’à neuf heures tapantes, à l’heure ou le vétéran se sera assoupi devant une énième rediffusion de « Man vs. Wild », je m’évaderai de ma cellule à tâtons avant de courir sans regarder derrière moi jusqu’à la Dodge vert bouteille fraîchement repeinte de Jax. Mais étrangement, un frisson d’inconfort parcourait mon corps élancé. Je savais que cette soirée n’augurerait rien de bon.
« Alors, ça donne quoi ? » Me pressait Thaïs, d’un ton à la fois surexcité et angoissé. Nous étions toutes deux enfermées depuis plus d’une demi-heure dans la salle de bain, à gamberger sur une situation qu’aucune jeune fille de mon âge ne souhaiterait traverser dans sa piètre vie. Ce jour-là, mon père était parti nous faire quelques courses. Afin de ne pas avoir de mauvaises surprises, Thaïs avait passé une commande listée sur un papier plus long que mon avant-bras. Pour une fois, elle ne m’avait pas déçu. J’étais assise en tailleur sur la cuvette des toilettes, agitant frénétiquement mon pied gauche afin d’évacuer le stress. La tension était à son comble, je me sentais telle un boxeur au moment du dernier round, au moment où il s’apprêtait à mettre KO son adversaire. Je regardais le petit écran sans réellement le voir, et une multitude de sensations s’empara de mon corps encore impuissant. Ma respiration était saccadée, mes membres étaient engourdis, et une goutte sueur glacée descendait le long de mon dos. « Gaïa, dis-moi, merde ! » Ses paroles résonnaient comme au beau milieu d’une falaise. Un bourdonnement agaçant captait mon attention. Néanmoins, j’étais la seule à l’entendre. Sans prévenir, une larme se logea au coin de mon œil droit, m’obligeant à l’essuyer d’un revers lâche. Positif. Ce mot tourbillonnait dans ma tête, s’entrelaçait parmi mes pensées, se fraya un chemin jusqu’à mon cerveau. « Comment ça, positif ? Gaïa, t’es enceinte ?? » Je l’avais prononcé tout haut. Je secouai la tête comme pour chasser un mauvais rêve, mais non, j’étais bel et bien éveillée. Cette annonce me fit l’effet d’une méga gifle. Une bonne grosse gifle comme on en voit dans ces films à l’eau de rose desquels Thaïs ne cesse de se languir. Un petit être était en train de se développer en moi, et ce sans même m’en informer. « Jure moi de ne rien dire, tu entends ? » Lui glissais-je entre deux sanglots. A voir sa réaction, j’avais sans doute hurlé. Elle me regarda d’un air entendu, avant d’ôter délicatement de mes mains le test, comme si c’était un bien rare qu’il fallait à tout prix préserver. « Je te le promets. On est sœur, pas vrai ? » Ses derniers propos m’ont rappelé à quel point j’avais besoin d’elle. A quel point elle comptait plus que tout au monde. Même si je la blâmais constamment, sous la colère, du divorce de mes parents, Thaïs resterait ma sœur. D’un air nostalgique, je caressais délicatement mon petit ventre qui ne tarderait à grossir. Mais pas dans cette maison. Papa ferait une attaque. Alors il fallait que je fuie au plus vite, comme l’avait fait Jax quand je lui annonçai la nouvelle. L’image de ma mère me parvint soudain à l’esprit. Elle seule, à l’exception de Thaïs, pourrait comprendre ma détresse. Au terme de nombreuses recherches qui s’avérèrent fructueuses, je me trouvais au milieu de ma chambre. Deux valises remplies à ras-bord gisaient sur la moquette couleur framboise, grandement ouvertes. « T’es sûre de vouloir faire ça ? Parce que tu sais… T’es pas obligée de t’en aller… » Voilà comment faire culpabiliser quelqu’un en quelques malheureuses secondes. Thaïs était affalée sur mon lit, son attention était absorbée par moi-même pliant machinalement mes t-shirts et autres effets personnels. Le strict nécessaire était ce qui me valait deux immenses valises. Le reste, je le trouverais sûrement dans les poubelles ou dans des friperies à mon arrivée à Wexford. Ironie, bien entendu. « Arrête Thaïs, ne me fais pas ça. » Mes mains entrèrent en contact avec le froid de ses joues, que je rassemblai en une coupe. « Tu vas me manquer, mais les téléphones, ça existe. Ne fais pas comme si je partais en Sibérie ou un truc dans le genre… » Ma dernière remarque lui arracha un léger sourire. Ce sourire allait bel et bien me manquer. Mais qu’elle se rassure, j’avais blindé une poche d’une de mes valises d’une multitude de photos d’elle, d’elle et moi plus rares. En quelque sorte, je l’amenais indirectement avec moi, ce qui apportait un peu de chaleur dans mon petit cœur fragile.
« Allez ma jolie, bouge un peu ton petit cul et apporte-moi une bière fissa. » Je tentai tant bien que mal de dissimuler une grimace de dégoût, mais rien à faire. Cette bande d’ivrognes aux cheveux sales et aux vêtements semblables à des haillons était le type même de clients que je servais chaque soir chez Hooters. Et l’uniforme réglementaire n’améliorait pas la situation. Cela a beau vous paraître minable, voire malsain d’employer des jeunes filles comme serveuses uniquement en fonction de leurs atouts, mais moi, c’est mon gagne-pain. Après tout, depuis que mon enfant avait été placé contre mon gré à l’adoption et que ma mère m’avait foutu à la porte de chez elle parce qu’elle se sentait honteuse devant son nouvel époux d’assumer que sa propre fille soit tombée enceinte à seize ans, je n’ai eu guère le choix que de prendre cet emploi dans la mesure où je devais financer mes études de biologie, mon loyer, et accessoirement, de quoi manger. Donc je répétais la même vieille rengaine chaque soir : Une main baladeuse que je remets courtoisement (ou non) à sa place, une bière qu’un client, visiblement maladroit, renverse stratégiquement sur ma poitrine « par accident », une bagarre d’ivrognes que je dois arbitrer. Voilà le quotidien de Gaïa Edelstein, ratée de vingt ans. Et je vous autorise à rire à gorge déployée, pour un pourboire de cinquante cents. - les codes appartiennent à l'équipe de secrets online, toute reproduction même partielle est interdite. - |
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☂ AVATAR : selena gomez
☂ CRÉDITS : cet avatar magnifique a été fait par sweet nothing, quant aux gifs, ils viennent de tumblr, la signature a été faite par moi même.
| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:27 | |
| bienvenuuuuuue. |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:27 | |
| Bienvenue avec la très belle Magdalena j'espère que tu vas te plaire ici. |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:28 | |
| le nom + magda + copine de pays = jo t'aime déjà bienvenue parmi nous, j'ai hâte de découvrir ton personnage (jusqu'à maintenant, ça promet bien ) courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:42 | |
| oh, que tu es belle bienvenue et bonne chance pour ta fiche! |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:51 | |
| bienvenue à toi j'aime le choix de vava et le pseudo bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:54 | |
| Juliette :Selena ! Merci poupée ! Nathan : Merci, mon joli ! J'y compte bien ! Ellie : Aah, Bryden est tellement bandante Un lien s'impose entre les deux beautés ! et merci ! Johan : C'est toi le plus beau ! Merci beaucoup ! Ysée : Ce prénom, Ysée, c'est tellement cute ! Merci ! |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 22:55 | |
| Bienvenue ! Je connais pas ton avatar mais elle est magnifique ! Bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 23:22 | |
| je viens de lire le cléa(molette) j'ai rie comme une abrutie |
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☂ AVATAR : sexy will.
☂ CRÉDITS : sweet disaster.
| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Lun 29 Sep - 23:46 | |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 0:10 | |
| Nathan : Ha ! C'est le surnom niaiseux qu'on me donne depuis toujours ! Jools : Oh gawd, DAWID !! Merci mon mignon ! |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 1:39 | |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 2:37 | |
| OMG OMG OMG J'suis ravie que ça t'ait plu ! J'ai tellement hâte de commencer à jouer ! |
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☂ AVATAR : sexy will.
☂ CRÉDITS : sweet disaster.
| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 7:49 | |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 10:14 | |
| Déjà Bienvenue J'adore ton pseudo |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 15:07 | |
| Bienvenu ! Magdalena est magnifique ! |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 22:26 | |
| Jools : Haan, il ne sait pas ce qu'il rate, parce que ma petite Gaïa (tout comme sa créa ) est genre en amour avec Jools (donc Dawid par la même occasion) ! Ariel : Han merci ! Harry et ses cute curls + le prénom Ariel, j'adhère ! Jecht : Graaouu, trop de sexiness chez ce garçon ! Merci ! |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 23:03 | |
| bienvenue par contre, on limite le nombre d'étrangers c'était écrit dans le modèle éè |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 23:11 | |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 23:23 | |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mar 30 Sep - 23:38 | |
| Thanks cutie ! |
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| Sujet: Re: (Gaïa) † Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dit "quel prénom étrange". Puis, c'est pas vraiment la saison. Mer 1 Oct - 18:28 | |
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- Hey bienvenue chez toi - Tu es enfin des nôtres Tu es officiellement un habitant de Wexford, alors content ? Maintenant que tu as déposé tes valises ici, il est grand temps de venir de te faire des amis, ainsi que de pointer à pôle emploi. Recense-toi ici pour ne pas te faire piquer ton avatar clique ici pour recenser ton avatar Tu peux aussi trouver le logement de tes rêves. Il te faut aussi rejoindre la twittosphère. Recense ton twitter et follow TOUTES les personnes de la liste. Quand tu aura fait tout ça ce qui est déjà pas mal, tu pourras bien évidemment te détendre un peu et flooder ou bien laisser ton imagination déborder dans les journaux de bord, se trouvant ici. Si jamais c'est trop la galère pour comprendre, suis le guide pratique avec tous les liens utiles : iciAmuse toi bien chez les irlandais ! - les codes appartiennent à l'équipe de secrets online, toute reproduction même partielle est interdite. - |
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météo et voilà une année que l'aventure twitter a commencé pour ariel, tahlia, alexis, nathan, paulo et kenaël (adam). une année de hauts et de bas, mais qui malgré tout nous a apporté beaucoup de bonheur de belles rencontres. un grand merci à ceux qui tweetent chaque jour sur la plateforme depuis maintenant plus d'une année et que le jeu continue pendant une année encore. | |
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